La vipère
Si ton cœur m’appartient, je ne serais jamais tienne
Un sang bleu et glacé coule dans mes veines
Aujourd’hui comme hier et sûrement demain
Je ne laisserai quiconque tracer mon chemin.
Mais peut-être que si un ange, un Adonis, un Apollon
Aux yeux bleu azur et avec de longs cheveux blonds
Croisait mon regard couleur caméléon
Je n’hésiterais pas à franchir le rubicond.