L’air était chaud sous ce soleil d’été.
La mer, allongée dans son lit, se laisser brûler sous ce feu de douces et tendres caresses.
Le bruit des vagues s’amplifiait sous l’ intensité de cette passion partagée.
Une douce symphonie, fruit de cette étreinte amoureuse, se mêlait au mistral et voyageait à travers le monde.
Quelquefois, l’ orage jaloux se déchaînait et crachait des flashs roses et bleus dans le ciel.
Irrité, le soleil disparaissait alors vers l’ horizon.
La vie était là, la mer restait femme.
Allongée sur le sable blanc, je m’ émerveillais de ce spectacle magique.
Les symptômes de l’ attirance entre deux êtres étaient rythmés avec sincérité, affinité, et complicité.
Oh pardon ! Je me savais bavarde, mais un sentiment de solitude m’ étreint.
Comment continuer à enrichir et imager la suite de mon histoire avec ce soutien solide ?
Une image, un souvenir lointain, me revient en mémoire, celle d’ un homme et d’ une femme qui vivaient un amour fou, sur une plage bondée.
» Les amoureux sont toujours seuls au monde « .