Elle était là assise devant moi à me regarder à travers le miroir. Je lui demandai :

Es-tu moi ou suis-je toi ? Je te connais, je te reconnais. Tu es la forme de l’âme de la femme passion que je suis. Un miroir entre nous deux jamais séparées, tes histoires et mes contes nous ont guéries pour vivre dans la vérité de l’encre de nos maux. Nous avons écrit pour guérir les âmes des histoires archétypes et des métaphores dans l’espace des narrateurs et des conteurs.

Je te connais car tu m’inspires la nuit venue.

Qui serais-je sans toi ma muse ?

Tu as laissé un léger tatouage sur ma peau. Tu es moi et je suis toi dans l’espace d’azur des femmes sauvages.