Madeleines « Faut pas mollir ! »

Pour une famille de quatre personnes.

Temps de préparation : Des oreilles attentives et bienveillantes.

Temps de cuisson : Une soirée douce au coin de la cheminée.

Ingrédients : Un cœur souffrant, des zestes d’espérance, trois gouttes d’insouciance, deux cuillères à soupe de tolérance, quelques larmes,

une crème de patience, des décorations d’objectifs.

Ustensiles : Un filtre Zen, un moule de type familial ou amical pour madeleines, un contenant sûr et confiant.

Préparation :

Prendre un cœur souffrant, le déposer avec bienveillance dans un filtre Zen qui permettra de séparer les émotions positives, des émotions négatives. Dans un premier temps, parmi les émotions négatives, alléger les peurs, en pesant le pour et le contre.

Mettre de côté colères et rancunes qui apportent souvent de l’amertume à la préparation.

Eliminer rapidement toutes sources faussement sucrées comme caprices ou tentations.

Au reste des émotions négatives, ajouter des zestes d’espérance, parfumer avec trois gouttes d’insouciance, et deux bonnes cuillérées à soupe de tolérance.

Eviter tout manque de raffinement ou de délicatesse en rajoutant de l’obstination.

Puis, introduire dans un second temps les émotions positives.

Choisir un moule de type familial ou amical pour les madeleines. S’appuyer sur un contenant sûr et confiant pour défier les menaces de débordements.

Laisser cuire à feux doux au coin de la cheminée jusqu’à ce que remontent à la surface, courage et détermination. Il est possible, durant ce temps de cuisson, d’arroser de quelques larmes, mais attention à ne pas noyer les madeleines. Puis les garnir à chaud d’une crème de patience, avant de les décorer d’objectifs.

Le petit plus de ces madeleines : « Partagées, elles rendent beaucoup plus fort ».